Alle Worte des Vereins
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- Vie de l'association
- Octobre 2022
Chères amies, chers amis de l´association Förderverein Deutsch-Französischer Kultur
Nous espérons que vous avez passé de bonnes vacances durant ce bel été, un été exceptionnel qui nous a fait tous vivre le changement climatique, avec les incendies qui ont frappé les Landes et les inondations dans le Midi, avec à l´arrière- plan la terrible guerre en Ukraine. Pas de quoi être optimiste mais cela nous donne à réfléchir et nous incite à agir. Souhaitons que le Covid -19 nous permette de poursuivre à nouveau normalement nos activités dans notre association après une longue interruption.
Notre présidente, Simone Rist, a démissionné après de longues années à la tête du Förderverein Deutsch-Französischer Kultur qu´elle avait fondé en 1995. Elle reste membre honoraire de l´association et nous sommes heureux de maintenir le contact avec elle et de bénéficier de sa longue expérience.
Lors de la dernière assemblée générale le 12 juillet j´ai été élue présidente de l´asso et vais donc reprendre le flambeau. Je m´en réjouis et remercie tous les membres de la confiance qu´ils m´ont témoignée. Vivant en Allemagne depuis de longues années je me sens chez moi dans les deux pays, non pas « entre deux chaises », ce qui serait inconfortable, mais plutôt sur une passerelle entre nos pays.
Ma vie professionnelle s´est déroulée en Allemagne, en tant qu´interprète j´ai découvert de multiples facettes de la coopération entre l´Allemagne et la France dans le domaine des entreprises, de la culture, des jumelages. Ceci m´a donné envie de poursuivre sur cette trajectoire.
En compagnie de Jörg Rössig et de Ralf Kröner nous allons poursuivre notre mission au sein du directoire (Vorstand) et comptons sur la collaboration avec nos membres pour mettre nos idées en commun, réaliser nos prochains salons.
Nous nous réjouissons à l´ avance d´accueillir de nouveaux membres !
A bientôt donc de vous retrouver
Octobre 2022
Catherine Gebhardt-Bernot
- Editorial
- März 2022
Die Pandemie hat viele Probleme ans Licht gebracht, nicht zuletzt die deutsch-französischen. In der ersten Welle im März 2020 hat die deutsche Regierung die Grenze zu Frankreich geschlossen, ohne ihre Nachbarn zu informieren oder gar um Rat zu fragen.
Im Interview mit der Süddeutschen Zeitung ließ die französische Staatssekretärin für europäische Angelegenheiten und Beauftragte für die deutsch-französische Zusammenarbeit, Amélie de Montchalin, keinen Zweifel daran, was die französische Regierung davon hielt: „Wir brauchen ein Frühwarnsystem, das sicherstellt, dass kein Staat Grenzen schließt, ohne seinen Partnern genug Zeit zu geben, sich vorzubereiten oder die Entscheidung vielleicht noch einmal zu diskutieren. Das müssen wir wirklich besser organisieren“.
Offenbar gab es keine deutsche Bundeskanzlerin, keinen deutschen Minister, keine Ministerpräsidentin, die die Nummern ihrer französischen Kolleginnen und Kollegen auf dem Handy gespeichert hatten, um direkt mit ihnen zu besprechen, was zu tun sei.
Warum? Wahrscheinlich sind außer politischer und bürokratischer Beschränktheit mangelnde Sprachkenntnisse und ein allgemeines Fremdeln mit der Kultur des Nachbarn Schuld daran. Die Förderung der deutsch-französischen Verständigung ist also nach wie vor eine keineswegs gelöste Aufgabe. Wir arbeiten daran, haben in den letzten Monaten sogar einige Veranstaltungen gemacht; dazu mehr am Ende des Rundbriefs.
Wie alle 'Kulturmacher' hoffen wir jetzt, dass wir Ausgefallenes nachholen und Neues planen können, dass wir wieder regelmäßig Aufführungen, Diskussionen, Austausch anbieten können. Dabei wünschen wir uns natürlich vor allem, dass unser Publikum uns die Treue hält, um mit uns dazu beizutragen, das Verständnis der beiden Länder für ihre so verschiedenen Kulturen zu verbessern.
März 2022
Ralf Kröner
- Im Rundbrief: FDFK_Rundbrief_Maerz_2022_16.pdf
- Ankündigung
- Dezember 2021
Ein nächster Salon wird diesem Roman von Albert Camus gewidmet sein, einem prophetischen Buch, das uns jenseits der Statistiken und Zahlen das tatsächliche Ausmaß der Epidemie erfassen lässt - vor einigen Jahren Abiturthema.
Lohnt es sich, Die Pest von Albert Camus zu lesen oder wieder zu lesen? Der 1947 erschienene Roman scheint nichts von seiner Aktualität verloren zu haben. Er beginnt folgendermaßen:
„Am Morgen des 16. April trat Doktor Bernard Rieux aus seiner Praxis und stolperte mitten auf dem Treppenabsatz über eine tote Ratte. Vorerst schob er das Tier beiseite, ohne es zu beachten, und ging die Treppe hinunter. Aber auf der Straße kam ihm der Gedanke, dass diese Ratte dort nicht hingehörte, und er machte kehrt, um den Concierge zu informieren…“ (ro ro ro Taschenbuch 1998, Seite 12)
Wenn wir den Roman von Albert Camus lesen oder erneut lesen, lässt er uns überraschende Ähnlichkeiten zwischen seinem Roman und der aktuellen Corona-Pandemie entdecken. Er lässt uns einen Schritt zurücktreten und nachdenken. Zum Beispiel durch dieses Zitat:
„Geißeln sind ja etwas Häufiges, aber es ist schwer, an Geißeln zu glauben, wenn sie über einen hereinbrechen. Es hat auf der Welt genauso viele Pestepidemien gegeben wie Kriege. Und doch treffen Pest und Krieg die Menschen immer unvorbereitet (…) Eine Geißel ist nicht auf den Menschen zugeschnitten, daher sagt man sich, dass sie unwirklich ist, ein böser Traum, der vorübergehen wird. Aber es geht nicht immer vorüber, und von einem bösen Traum zum nächsten sterben Menschen (…)“. (ro ro ro Taschenbuch 1998)
Einführung und Textpassagen werden auf Französisch und Deutsch gelesen.
Mit Catherine Gebhardt-Bernot und Ralf Kröner
Dezember 2021
Catherine Gebhardt-Bernot
- Veranstaltung: „La Peste“ von Albert Camus
- Im Rundbrief: FDFK_Rundbrief_Dezember_2021_15.pdf
- Annonce
- Decembre 2021
Un prochain salon sera consacré à ce roman d’Albert Camus, un livre prophétique, indispensable pour aller au-delà des chiffres et des statistiques qui nous obsèdent. Il y a des années La Peste était le sujet de l´Abitur pour les élèves de «Französisch LK».
Faut-il relire La Peste d´Albert Camus ? Il semble bien que le roman paru en 1947 n´ait rien perdu de son actualité.
Il commence ainsi :
« Le matin du 16 avril, le docteur Bernard Rieux sortit de son cabinet et buta sur un rat mort, au milieu du palier. Sur le moment il écarta la bête sans y prendre garde et descendit l´escalier. Mais arrivé dans la rue, la pensée lui vint que le rat n´était pas à sa place et il retourna sur ses pas pour avertir le concierge » (édition Folio, p.15).
Lire ou relire le roman d´Albert Camus nous fait découvrir des ressemblances surprenantes entre son roman et la pandémie actuelle du covid-19, nous fait prendre du recul et réfléchir, comme par exemple cet extrait.
« Les fléaux, en effet sont une chose commune, mais on croit difficilement aux fléaux lorsqu´ils nous tombent sur la tête. Il y a eu dans le monde autant de pestes que de guerres. Et pourtant pestes et guerres trouvent les gens toujours aussi dépourvus (…) Nos concitoyens à cet égard étaient comme tout le monde, ils pensaient à eux-mêmes, autrement dit ils étaient humanistes : ils ne croyaient pas aux fléaux. Le fléau n´est pas à la mesure de l´homme, on se dit que le fléau est irréel, c´est un mauvais rêve qui va passer. » (La Peste, édition Folio, p.41).
N´est-ce pas ce que tout le monde a cru au début de la pandémie ? Rendez-vous le 5 décembre
Introduction et lecture d´extraits de La Peste - Catherine Gebhardt-Bernot
Lecture d’extraits en allemand – Ralf Kröner
A recommander : Olivier Todd, Albert Camus, une vie.
Decembre 2021
Catherine Gebhardt-Bernot
- Événement: „La Peste“ von Albert Camus
- Ankündigung
- Oktober 2021
- Flugblatt: Link
![]() Prozess |
Der Publizist Sebastian Haffner schrieb vor 50 Jahren zum 100. Jahrestag, dass es in der Commune de Paris zum ersten Mal um Dinge ginge, um die heute noch gerungen wird: Diktatur oder Demokratie und deren Formen, Sozialismus, Wohlfahrtskapitalismus oder entfesselter Kapitalismus, Berufsarmee oder Volksheer, Frauenemanzipation. Und diese Fragen sind nach einem weiteren halben Jahr hundert immer noch unbeantwortet und deshalb aktuell.
Aber nicht nur politisch ist die Commune ein wichtiges Ereignis gewesen, sondern auch kulturell. Anerkannte Künstler sympathisierten mit der Commun oder spielten eine bedeutende Rolle in ihr wie der Maler Gustave Courbet. Die Tragik der Ereignisse hat einige Schriftsteller inspiriert wie Émile Zola (1840 1902), Victor Hugo (1802 1885) und Jules Vallès (1832 1885), die Zeitzeugen der Commune gewesen sind. Sehr beeindruckend haben sie „La semaine sanglante“ (die blutige Woche) und die Brände in Paris dargestellt, die das Ende der Commune besiegelten.
Einige Texte werden auf Französisch vorgelesen und auf Deutsch übersetzt.
Mit Catherine Gebhardt Bernot und Ralf Kröner
- Bericht/Postkarte: Salon „1871: La Commune de Paris – 72 Tage, die die Welt bewegen...“
- Veranstaltung: 1871: La Commune de Paris – 72 Tage, die die Welt bewegen...
- Programm/Unterlagen: Link
- Annonce
- Octobre 2021
- Prospectus: Link
![]() La barricade de la place Blanche défendue par des femmes |
... et qui l'ébranlent encore maintenant.
Il y a cinquante ans le journaliste Sebastian Haffner écrivait à propos du centenaire de la Commune qu´il s'agissait pour la première fois de thèmes qui sont restés d'actualité : la dictature, la démocratie et ses diverses formes, le socialisme, l'Etat providence, le capitalisme déchaîné, l'armée de métier ou l'armée populaire, l'émancipation des femmes. Un demi siècle plus tard toutes ces questions sont encore l'objet de discussions et de luttes politique mais n'ont pas encore trouvé de réponse.
La Commune n'a pas été seulement un événement politique mais elle a aussi laissé une trace profonde dans la vie culturelle, en particulier dans la littérature. De grands artistes tels que le peintre Courbet ont éprouvé de la sympathie pour la Commune et joué un rôle important. De grands écrivains tels qu'Émile Zola (1840 1902), Victor Hugo (1802 1885), Jules Vallès (1832 1885) ont été des témoins de la Commune et l'ont évoquée dans sa dimension tragique, en particulier « La semaine sanglante » et les incendies qui détruisirent une grande partie du centre de Paris.
Des extraits seront lus en français et traduits en allemand pour les personnes qui le souhaiteraient.
Avec Catherine Gebhardt Bernot et Ralf Kröner
- Compte-rendu/Carte postale: Salon „1871: La Commune de Paris – 72 Tage, die die Welt bewegen...“
- Événement: 1871: La Commune de Paris – 72 Tage, die die Welt bewegen...
- Programme/Document: Link
- Planung
- Oktober 2021
Liebe Freundinnen und Freunde des Fördervereins Deutsch-Französischer Kultur,
seit Monaten leben wir in der Schwebe, in der Unsicherheit, im Ungewissen.
Der kulturelle Bereich ist stark von der Pandemie betroffen. In Frankreich und in Deutschland mussten alle Kultureinrichtungen schließen. Jedoch ist jetzt ein Silberstreifen am Horizont zu sehen und dies dank der positiven Entwicklung des Impfstatus in Baden-Württemberg und dessen neuer Corona-Verordnung vom 16.09.2021. Für die kulturellen Veranstaltungen in Stuttgart bitten wir sie unter https://coronavirus.stuttgart.de die aktuellen Zugangsbedingungen nachzulesen.
Schließlich konnten wir zwei Termine für die nächsten Salons festlegen, den einen am 10. Oktober, den anderen am 5. Dezember.
Im Oktober möchten wir einen Salon zum Thema La Commune de Paris anbieten, als Folgeprojekt unseres Salons zum deutsch-französischen Krieg. Wir setzen uns mit Texten von Victor Hugo und Emile Zola auseinander und auch mit den Positionen von Karl Marx und Bertolt Brecht.
Im Dezember planen wir unseren nächsten Salon: er wird „La Peste“ von Albert Camus gewidmet, ein prophetisches Buch - vor einigen Jahren Abiturthema. Es lohnt sich unbedingt, es jetzt zu lesen oder wieder zu lesen, damit wir jenseits der Statistiken und Zahlen das tatsächliche Ausmaß der Epidemie erfassen können. Zum Beispiel durch dieses Zitat (Deutsch von Uli Aumüller):
„Plagen sind ja etwas Häufiges aber es ist schwer, an Plagen zu glauben, wenn sie über einen hereinbrechen. Es hat auf der Welt genauso viele Pestepidemien gegeben wie Kriege. Und doch treffen Pest und Krieg die Menschen immer unvorbereitet (…) Eine Plage ist nicht auf den Menschen zugeschnitten, daher sagt man sich, dass sie
unwirklich ist, ein böser Traum, der vorübergehen wird. Aber es geht nicht immer vorüber, und von einem bösen Traum zum nächsten sterben Menschen (…)“.
Empfehlenswert um Albert Camus besser zu kennen: Iris Radisch, Camus, das Ideal der Einfachheit, eine Biographie und Olivier Todd, Albert Camus, une vie.
Andere Projekte warten noch darauf, in 2022 verwirklicht zu werden. Zum Beispiel das Gesprächskonzert mit dem berühmten Oboisten Lajos Lencsés unter dem Titel „Seconde patrie“ - Zweite Heimat, das im Rahmen der Semaine française im Frühjahr 2020 geplant war.
Wir hoffen auch, das Theaterstück „Mamoundé“ vorstellen zu können, das auch in den französischen Wochen 2020 stattfinden sollte. Sie sehen, es gibt noch viel zu tun.
- Im Rundbrief: FDFK_Rundbrief_Oktober_2021_14.pdf
- Perspectives
- Octobre 2021
Chers amis du Förderverein,
C'est une des conséquences du virus covid-19: Depuis des mois nous vivions tous comme en suspens, dans le flou, dans l'incertain.
Cette incertitude a caractérisé en particulier le domaine culturel, les théâtres, les cinémas, les salles de concert ont dû fermer en Allemagne comme en France. Cependant une lueur d'espoir est apparu à l'horizon grâce à l'évolution du taux de vaccination contre le virus et à l'exigence des 3G en Allemagne, particulièrement en Baden-Württemberg selon la Corona-Verordnung BW du 16.08.2021, et ses conséquences pour les évènements culturels à Stuttgart (voir https://coronavirus.stuttgart.de).
Enfin nous avons pu fixer les dates de deux salons, l'un le 10 octobre, l'autre le 5 décembre de cette année.
En octobre nous prévoyons un salon dans la lignée de notre salon sur la Guerre franco-allemande de 1870-1871: il s'agira de la Commune de Paris (c'était il y a 150 ans), vue à travers les écrits de Victor Hugo et d'Emile Zola sans oublier ceux de Karl Marx et de Bertolt Brecht.
En décembre nous espérons organiser notre salon consacré à La Peste d'Albert Camus, un livre prophétique, à lire ou à relire, indispensable pour aller au-delà des chiffres et des statistiques qui nous obsèdent.
Il y a des années La Peste était le sujet de l'Abitur pour les élèves de «Französisch LK». Certains d'entre vous s'en souviennent peut-être. Albert Camus nous a laissé un livre émouvant d'une immense richesse dans lequel on découvre sans cesse des phrases limpides à méditer:
«Les fléaux (…) sont une chose commune, mais on croit difficilement aux fléaux lorsqu'ils vous tombent sur la tête. Il y a eu dans le monde autant de pestes que de guerres. Et pourtant pestes et guerres trouvent les gens toujours aussi dépourvus (…) Le fléau n'est pas à la mesure de l'homme, on se dit que le fléau est irréel, c'est un mauvais rêve qui va passer, mais il ne passe pas toujours, et, de mauvais rêve en mauvais rêve, ce sont les hommes qui
passent…» (La Peste, Albert Camus, p.41 édition Folio).
A recommander entre autres pour mieux connaître Camus: l'ouvrage (en allemand) de Iris Radisch intitulé Camus, Das Ideal der Einfachheit, eine Biographie et Albert Camus, une vie par Olivier Todd.
D'autres projets sont en attente en 2022, les idées ne manquent pas: par exemple le concert de Lajos Lencsés (hautbois, soliste, musicien de réputation internationale) ayant pour thème « Seconde Patrie » qui était prévu dans le
cadre de la Semaine française 2020 et n'avait pas pu avoir lieu.